Selon les principes hippocratiques, le diagnostic s’élabore après l’interrogatoire pointilleux du malade et de son entourage, et l’observation du faciès, de la langue, des yeux et surtout du pouls (mais on ne compte même pas les battements…), des urines, des selles et du sang du patient. Percussion, auscultation, prise de la température et de la tension artérielle, auxquelles nous sommes habitués, n’existeront pas avant le 18e s. Le médecin hippocratique émettait ensuite un pronostic avant de proposer une quelconque thérapeutique.
Des méthodes de diagnostic insuffisantes 1 2 3 suite.gif (918 octets)