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Demenÿ, Georges .
Paris : Fournier, 1909.
Cote : 65254.
La couverture manque.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Nombre de pages : 388
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 1  [Page de faux-titre]
 2  Du même auteur
 3  [Page de titre]
 4  [Dédicace]
 5  A la ville de Paris
 6  
 7  Avant-propos
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 9  I. Phase empirique
 10  
Image : Académie de tous les Sports à l'île de Billancourt, projetée par Triat (1850)
 11  I. Phase empirique. Documents historiques - Rappel de l'héritage des prédécesseurs
 12  
 13  Aperçu général
 14  Archange Tuccaro
 15  Rabelais et Montaigne
 16  
Image : Pestalozzi. L'apôtre de l'éducation naturelle (1746-1827) / Jahn. Le chef de l'école Allemande (1778-1852)
 17  
Image : Ling. Le fondateur de la gymnastique Suédoise (1776-1839)
 18  
 19  Nicolas Andry
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 23  Les précurseurs
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 30  Les auteurs modernes
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Image : Triat
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Image : Gymnase Triat qui existait avenue Montaigne en 1850
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 40  Education et la science
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 43  Cheyne
 44  Sabbathier
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 49  M. Tissot
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 60  Amar Durivier et L. F. Jauffret
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 64  Charles Londe
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 82  Amoros
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Image : Amoros (1770-1848)
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Image : Plan du gymnase d'Amoros, d'après Laisné
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 104  N. Dally
 105  E. Dally
Image : Le Dr E. Dally. L'apôtre et le premier vulgarisateur des exercices respiratoires en France
 106  N. Laisné
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Image : Napoléon Laisné. Inspecteur de la gymnastique dans les écoles de la ville de Paris et collaborateur à la fondation de l'école de gymnastique militaire de Joinville-le-Pont. Photographié à l'âge de 75 ans
 109  A. Clavel
 110  E. Paz
Image : Eugène Paz
 111  Pichery
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 113  II. Phase de tâtonnements
 114  
 115  II. Phase de tâtonnements. Exposés critiques - Valeur des arguments échangés - Système transitoires - Ecole suédoise et école française. Le progrès s'accuse lentement
 116  Le dogme intangible
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 120  Les opinions se transforment avec les connaissances nouvelles
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 128  La scission
 129  Le règlement de gymnastique de 1902
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 131  
 132  Le faux pas
 133  
 134  Recul en arrière
 135  
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 137  
 138  Gymnastique militaire
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 140  
Image : Elève de l'école des fusiliers marins de Lorient
 141  
 142  
 143  Système suédois. Le système de Ling doit évoluer / La méthode suédoise actuelle ne s'accorde pas avec la pratique de la vie
 144  La légende de Ling
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 149  Il n'y a pas de système de Ling proprement dit
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 153  Dispute scolastique
 154  
 155  Les disciples de Ling n'ont pas compris leur maître
 156  
 157  Les positions fondamentales
 158  
 159  Position (dite fondamentale) droite
 160  
Image : Fig. 1. Position des pieds dans la méthode suédoise / Fig. 2 / Fig. 3
 161  
Image : Fig. 4. Station droite correcte sans raideur le ventre effacé mais non creusé
 162  
 163  Exagérations funestes
Image : Fig. 5. Coupes verticales du corps obtenues au moyen du conformateur et montrant que l'élévation exagérée des côtes en bombant la poitrine est compensée par le refoulement des viscères abdominaux contre le diaphragme. Les parties foncées correspondent aux saillies musculaires
 164  
 165  
Image : Fig. 6. Athlète remarquable par sa résistance et ne présentant pas cependant la poitrine bombée exagérément
 166  
Image : Fig. 7. Un même sujet photographié dans l'attitude du laisser-aller et immédiatement après dans une autre où il s'efforce de bomber la poitrine, ces deux images pourraient faire croire à un développement considérable de celle-ci ; il n'y a en réalité d'un déplacement des organes abdominaux et thoraciques
 167  
 168  
Image : Fig. 8. Déplacement et pénétration des viscères abdominaux dans le thorax chez un disloqué
 169  
Image : Fig. 9. Coupe horizontale et section antéro-postérieure de la poitrine d'un coureur de fond. On n'y rencontre point de dimension étendues mais une grande course des mouvements respiratoires
 170  Les fentes
Image : Fig. 10. 1, station droite; 2, fente en avant; 3, fente en arrière
 171  
Image : Fig. 11. Fente en arrière / Fig. 12. Station sur la poitrine des pieds à la Suédoise
 172  Extensions dorsales
Image : Fig. 13. 1. Fente en arrière à la française. 2. Fente en arrière à la suédoise dans laquelle la distance S. P. du sternum au pubis augmente avec l'ensellure
 173  
Image : Fig. 14. Sujets tirés des bas-reliefs du Mausolée montrant que les fentes en avant, en arrière et de côté faisaient partie de l'escrime des Grecs anciens
 174  
Image : Fig. 15. Extension dorsale tirée du manuel Suédois/ Fig. 16. Extensions dorsales montrant l'augmentation de l'ensellure avec de la distance du pubis du sternum
 175  
Image : Fig. 17. Formes de la courbure lombaire prises au conformateur : 1, dans la station droite correcte.2, dans la fente en arrière.3, dans l'extension dorsale à l'espalier. On constate que la rectification de la région lombaire est la plus grande dans la fente en arrière à la française (2), le corps dans la prolongement de la jambe en avant, la jambe arrière fléchie
 176  
Image : Fig. 18. Extension dorsale à l'espalier avec position de départ / Fig. 19. Acrobates disloqués montrant que le mouvement d'extension de la colonne vertébrale se passe presqu'entièrement dans la région lombaire
 177  
Image : Fig. 20. Dessin représentant une courbe raidie avec squelette tout à fait hypothétique. D'après Törngren
 178  
Image : Fig. 21
 179  
Image : Fig. 22. Mouvements impossibles à effectuer
 180  Hérésie mécanique
 181  
Image : Fig. 23. Montrant que l'inclinaison du tronc en arrière loin de l'équilibrer le poids de la jambe augmente la tension des muscles élévateurs
 182  
Image : Fig. 24. 1. Mouvement général d'inclinaison du corps autour de la cheville pour rétablir compromis par le soulèvement de la jambe en avant. 2. Inclinaison du tronc sur la jambe avec élévation de l'autre/ Fig. 25/ Fig. 26
 183  
Image : Fig. 27 / Fig. 28/ Fig. 29. Soulèvement de la jambe à l'espalier (tirée du manuel suédois). L'ensellure est évidente
 184  
 185  
Image : Fig. 30. Montrant l'équilibre sur un pied obtenu soit en inclinant la jambe et en laissant le tronc vertical, (méthode suédoise), soit en inclinant le tronc et laissant la jambe verticale
 186  
 187  Erreur d'analyse
Image : Fig. 31. Mouvement d'élévation de la jambe pendant la suspension libre à une barre ou à l'espalier suédois
 188  Purisme et vérité
 189  
Image : Fig. 32. Dessins tirés de l'ouvrage de M. Törngen : 1, mouvement défectueux d'après l'auteur; -2, suspension correcte dans laquelle les omoplates sont restées collées au thorax malgré l'élévation des bras/ Fig. 33. Mouvement naturel de bascule de l'omoplate pendant l'élévation du bras
 190  Lois naturelles de nos mouvements
 191  
 192  
 193  
 194  Paradoxe de Diderot appliqué aux mouvements
 195  
 196  Révolte du dogmatisme contre la nature
 197  
 198  
Image : Fig. 34. Saut en longueur de pied forme exécuté naturellement avec souplesse (départ et arrivée)/ Fig. 35. Saut en longueur de pied ferme, exécuté selon la méthode suédoise, raideur complète du corps à la chute
 199  
Image : Fig. 36. Positions du corps au moment de la chute dans le saut en longueur exécuté : 1, à la manière française; 2, à la manière suédoise/ Fig. 37. Obliquité du corps nécessaire à l'équilibre final dans la descente d'une voiture en marche
 200  
 201  
 202  
 203  
Image : Fig. 38. obliquité de la jambe nécessaire au moment de la chute pour détruire la vitesse oblique du corps. Le pied pose alors un instant par le talon. Le poids du corps donne une composante P1 retardatrice de la rotation V, de la jambe autour du point O
 204  
Image : Fig. 39. Saut en longueur précédé d'une course exécuté avec souplesse et en faisant agir les bras pour amortir la chute/ Fig. 40. Tous les bipèdes et quadrupèdes, homme, oiseau, cheval, kangouroo ayant de la vitesse horizontale portent en avant leur membre inférieur pour amortir leur chute
 205  
Image : Fig. 41. Le poser du pied par la plante dans la course
 206  
Image : Fig. 42. Coureur au moment de l'appui du pied et à la fin de l'impulsion/ Fig. 43. Le poser du pied par la position diminue la longueur du pas de course et la durée de l'impulsion
 207  
Image : Fig. 44. Déroulement du pied dans la course/ Fig. 45. Destinée à montrer le rôle de frein des muscles extenseurs de la jambe dans l'amortissement du choc du pied dans la course
 208  Ignorance des fonctions nerveuses
 209  Souplesse à la Suédoise
 210  
 211  Solution à priori
 212  Abus des efforts statiques
 213  Mépris du plaisir et de l'utilité pratique
 214  
Image : Fig. 46. Dessins tirés du manuel suédois et indiquant des exercices absolument acrobatiques en contradiction avec les principes de la méthode
 215  
Image : Fig. 47. Autres mouvements du manuel suédois qui ne peuvent être conseillés ni pour leur utilité pratique ni pour leurs qualités esthétiques ou hygiéniques
 216  Erreurs de principe
 217  L'effet local dépend de l'effet général
 218  
 219  
 220  L'éducation complète / Gymnastique éducative
 221  
 222  Le système suédois n'embrasse pas toute la matière de l'éducation
 223  
 224  
 225  L'école française moderne
 226  
 227  Parallèle entre la méthode française et la gymnastique suédoise
 228  
 229  
 230  
 231  
Image : Fig. 48. type suédois tiré du manuel officiel
 232  
 233  
Image : Fig. 49. Type français développé par la méthode française
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 235  
Image : Fig. 50
 236  
 237  
Image : Fig. 51. Sujet français dans l'attitude du gladiateur combattant
 238  
 239  
Image : Fig. 52. Sujet développé par la méthode française
 240  
 241  
Image : Fig. 53. Elève de l'école de Lorient vu de dos (méthode électrique française)
 242  
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Image : Fig. 54. Elève de l'école de Lorient développé par la méthode française
 244  
 245  Tableau résumant le parallèle entre l'École Française et le système suédois
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 251  
 252  
Image : Le professeur Marey (1830-1904). Initiateur de la méthode graphique en physiologie (Cliché Nadar)
 253  III. Phase positive et expérimentale
 254  
Image : Première installation ayant servi de laboratoire à MM. Marey et Demeny avant la fondation de la station physiologique (1881)/ Panorama des b^^aliments et installations de la station physiologique du Parc des Princes en 1889. Dans ce laboratoire ont été faites les premières expériences de chronophotographie et les études sur les mouvements
 255  III. Phase positive. Acquisitions définitives ; évolution scientifique, travaux originaux et documents expérimentaux
 256  
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 258  
 259  Critique de la méthode analytique
 260  
 261  
 262  Classification physiologique des exercices
 263  
 264  
 265  
 266  Gymnastique éducative et gymnastique d'application
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 271  
 272  
 273  Contrôle des résultats obtenus ; la fiche individuelle
 274  
 275  
Image : Fig. 56. Fiche individuelle, mensurations importantes à prendre sur un sujet pour se rendre compte de sa conformation
 276  
 277  
 278  Bases de la pédagogie dans une méthode positive d'éducation physique
 279  
 280  
 281  
 282  
 283  
 284  Règles pratiques pour réaliser l'enseignement
 285  
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 287  
 288  
 289  
 290  
 291  
 292  
 293  La leçon de gymnastique
 294  
 295  
 296  
 297  Méthode expérimentale
 298  Documents photographiques
 299  Photographies à travers un réseau
Image : Fig. 56. Réseau millimétré placé devant un sujet photographié
 300  
Image : Fig. 57. Plate-forme tournant pour photographier un sujet successivement sous différents points de vue / Fig. 58. Profils d'après la superposition des images photographiques d'un sujet aux phases extrêmes de l'inspiration (trait ponctué) et de l'expiration (trait plein)
 301  Photographies composites. Analyses cinématiques
Image : Fig. 59. Sujet en expérience portant des baguettes indicatrices pour explorer et amplifier les changements de courbure de la colonne vertébrale et les mouvements du thorax
 302  
Image : Fig. 60. Ecran noir formé d'un hangar profond couvert de velours noir pour prendre sur un même plaque des images chronophotographiques successives d'un sujet en mouvement. Les appareils sont placés dans la chambre roulante
 303  
Image : Fig. 61. Appareil chronophotographique de Marey/ Fig. 62. analyse chronophotographique d'un saut de haie épreuve obtenue sur une même plaque devant un fond noir (méthode Marey)
 304  Images partielles
Image : Fig. 63. Sujet vêtu de noir et portant des points et lignes blanches pour indiquer ses différents segments articulaires / Fig. 64. Analyse chronophotographique d'un pas de course au moyen de la méthode des photographies partielles de Marey
 305  Images cinématographiques
Image : Fig. 65. Appareil chronophotographique réversible Demeny (1893) à bandes de 6 centimètres
 306  Méthode graphique
Image : Fig. 66. Coupe du dynamographe montrant la disposition pour explorer la pression normale et les pressions tangentielles en avant en arrière du pied sur le sol
 307  Exploration de la contraction musculaire
 308  Appareil de mensuration
Image : Fig. 67. Appareil pour explorer le durcissement des muscles pendant leur contraction ou leur tonicité pendant le repos/ Fig. 68. Sujet portant au bras l'appareil explorateur du durcissement de ses muscles
 309  
Image : Fig. 69. Rachigraphe destiné à tracer les courbures du rachis sur deux feuilles de papier dans deux plans rectangulaires
 310  
Image : Fig. 70. Conformateur à main/ Fig. 71. Conformateur double destiné à prendre les coupes verticales du corps
 311  
Image : Fig. 72. Thoracomètre à fiches prendre les sections horizontales de la poitrine/ Fig. 73. Sections horizontales et sections verticales correspondantes du corps avec les mouvements respiratoires
 312  Note I. Sur la station droite
 313  
 314  
 315  Note II. Formes de la courbure lombaire dans différentes attitudes
 316  
 317  Note III. Influence de l'éducation sur le coeur et la respiration
 318  
Image : Fig. 74. Influence des mouvements respiratoires profonds sur la durée nécessaire à ramener le calme dans la respiration après une course
 319  
 320  Note IV. Observation de deux sujets présentant des conformations thoraciques remarquables
 321  
 322  Note V. Education de l'effort
 323  
Image : Fig. 75. Tracés des battements de l'artère radicale pendant un effort de A en B, la pression monte pendant l'effort, mais la manière de cesser cet effort brusquement ou progressivement sur la chute de la pression artérielle et sur la rentrée du sang veineux dans le thorax
 324  
 325  Note VI. Fatigue du muscle dans les efforts statiques
Image : Fig. 76. Loi d'allongement du muscle raccourci en contraction statique sous l'action d'un poids dont la valeur augmente. Les courbes 1, 2, 3, 5, 7 kilos. Le temps est compté en minutes sur la ligne des abscisses
 326  
Image : Fig. 77. Structure d'un muscle gros et court et d'un muscle long et mince comparée à leur mode de travail et adapté à la force ou à l'étendue des mouvements
 327  Note VII. Sur l'effort tangentiel dans locomotion
 328  
Image : Fig. 77. Variation de l'effort du membre inférieur sur le sol pendant différentes marches. Cet effort est décomposé en effort normal et efforts tangentiels positif dans le sens de la progression, négatif en sens contraire
 329  
Image : Fig. 78. Analyses simultanées et synchrones du mouvement de la jambe et de la pression normale et tangentielle en avant et en arrière pendant l'appui du pied. Les images et les valeurs de la pression correspondent à des 45° de seconde
 330  
Image : Fig. 78 bis. Effort normal et tangentiel de la jambe dans la marche le corps penché en avant ou avec une charge/ Fig. 79. Décomposition de l'effort de la jambe dans une course de fond et une course de vélocité
 331  
Image : Fig. 80. Mouvement de la jambe et pressions normale et tangentielles du pied sur le sol pendant un appui du pied dans la course. Les chiffres indiquent des 45e de seconde
 332  
Image : Fig. 81. Effort de la jambe, ses composantes normale et tangentielle dans le départ et l'arrêt de la course/ Fig. 82. Effort normal et tangentiel du pied dans un saut en longueur de pied ferme
 333  
Image : Fig. 83. Composantes normales et tangentielles de l'effort de la jambe dans deux sauts avec élan en longueur et en hauteur/ Fig. 84. Tracées de la pression du pied dans la chute de deux sauts en longueur, l'un (1) à la française, l'autre (2) à la suédoise
 334  
Image : Fig. 85. Décomposition de l'effort de la jambe dans la marche sur un terrain incliné
 335  Note VIII. Amortissement du choc dans la chute des sauts
 336  
 337  
Image : Fig. 86. Courbes de la pression normale du pied sur le sol pendant l'amortissement de deux sauts en profondeur/ Fig. 87. Courbe de la vitesse verticale de la hanche dans un saut en profondeur exécuté avec l'aide des bras et souplesse (trait plein) et à la suédoise (trait ponctué). On voit la vitesse être brusquement arrêtée dans le second cas
 338  
Image : Fig. 88. Comparaison des trajectoires de la tête et de la hanche dans deux sauts en longueur de pied ferme exécutés selon la méthode suédoise (trait plein), et française (trait ponctué). On voit dans le dernier la chute se prolonger et la vitesse du corps s'annuler progressivement
 339  
Image : FIG. 89. 1. Courbes de la vitesse horizontale de la tête dans deux sauts en longueur effectués : l'un (trait plein), à la manière française; l'autre (trait ponctué), à la manière suédoise. 2. Courbes de la vitesse s'annuler plus brusquement dans le saut suédois, ce qui correspond à une tension plus forte des muscles que dans le cas d'un amortissement moelleux et progressif. Cette tension est mise en évidence dans les tracés dynamographiques normaux et tangentiels à droite de la figure où l'on voit les pressions normales et tangentielles du saut suédois (à l'extrême droite) n'avoir pas de durée mais acquérir une grande valeur
 340  Note IX. Décomposition des forces ayant pour effet d'amortir la chute d'un saut
 341  
Image : Fig. 90. inclinaisons différentes. Du membres inférieur par rapport à la direction de la vitesse au moment de la chute d'un saut en longueur
 342  Note X. Comparaison du coup droit progressif et du coup brusque dans l'escrime
 343  
Image : Fig. 91. Analyse chronophotographique sur plaque fixe et sur fond noir d'un coup d'épée (Coup droit progressif)
 344  
 345  
Image : Fig. 92. Epure tirée de l'épreuve chronophotographique précédente où sont indiquées les positions synchrones de la hanche, de la tête, de l'épaule, du poignet et de la pointe de fleuret avec leurs trajectoires respectives, à des intervalles d'1/45 de seconde. On voit ainsi comment la trajectoire de la pointe est engendrée
 346  
Image : Fig. 93. Courbes de la vitesse horizontale de la pointe, du poignet, de l'épaule et de la hanche dans le coup droit exécuté progressivement
 347  Note XI. La vitesse du coup de poing
Image : Fig. 94. Courbes de la vitesse de la pointe, du poignet, de l'épaule et de la hanche dans le coup droit exécuté brusquement
 348  
 349  
Image : Fig. 95. Disposition pour mesurer la vitesse du coup de poing et tracés obtenus donnant en 100e de seconde la durée relative de l'acte nerveux et celle de l'exécution avec l'intensité du coup
 350  
 351  Plan d'un enseignement supérieur de l'éducation physique
 352  
 353  Développement de la matière du cours d'enseignement supérieur de l'éducation physique
 354  
 355  
 356  
 357  
 358  
 359  
 360  
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 365  
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 367  
 368  
 369  
 370  
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 373  
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 376  
 377  
 378  
 379  
 380  
 381  
 382  
 383  
 384  
 385  Table des matières
 386  
 387  
 388  [Extrait du catalogue de l'éditeur]