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Covent Garden

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Célèbre place à arcades du centre de Londres (cité de Westminster). L’expression « l’Othello de Covent Garden » fait référence au théâtre qui s’y dressa de 1732 à 1858, date à laquelle il fut démoli et remplacé par le Royal Opera.
Rome, Amphitéâtre Castrense

L’amphithéâtre Castrense, presque entièrement construit en brique, date de la fin de la dynastie des Sévères (IIIe siècle). Il faisait sans doute partie, comme le palais Sessorien, de la propriété impériale qui s’étendait dans ce secteur, d’où son nom, puisque «castrum» signifiait à cette époque «résidence impériale».

 

Rome, Eglise de Jésus

L’église del Gesù est l’église principale des Jésuites à Rome. Lorsque fut décidée en 1568 la construction de cette église, le cardinal Alexandre Farnèse s’engagea à financer l’entreprise et imposa son propre architecte, Vignole (1507-1573) ; parallèlement, la Compagnie de Jésus engagea un architecte jésuite pour veiller à l’application des exigences de la règle. La façade, très sévère, qui constitua le modèle du « style jésuite », style de transition entre l’art de la Renaisance et l’art baroque, a été réalisée par Giacomo della Porta. La décoration intérieure, très exubérante, a été exécutée presque un siècle plus tard pendant la période baroque.

 

Rome, Eglise Saint André

Il s’agit sans doute de l’église S. Andrea della Valle qui est située à proximité de S. Carlo ai Catinari. Commencée en 1591 par Giacomo della Porta, elle fut terminée de 1608 à 1623 par Carlo Maderno. La façade, qui a été ajoutée de 1656 à 1665 par Carlo Rainaldi est l’une des plus élégantes de l’époque baroque. Son plan à nef unique flanquée de deux chapelles communicantes, inspiré de l’église du Gesù, est caractéristique de la Contre-Réforme. Les fresques de la coupole sont l’œuvre de Lanfranco ; quant à celles de l’abside, elles ont été réalisées par le Dominiquin.

 

Rome, Eglise Sainte Croix de Jérusalem

L’église de Sainte-Croix-de-Jérusalem (S. Croce in Gerusalemme) se trouve dans la partie orientale de la ville, contre la muraille d’Aurélien, juste à côté de la Porta Maggiore. A son emplacement s’élevait autrefois le palais Sessorien, demeure privée de l’impératrice Hélène, la mère de Constantin. Celle-ci avait rapporté de son pèlerinage à Jérusalem un fragment de la vraie Croix. Après la mort de l’impératrice, une partie de son palais fut transformée par Constantin ou ses fils en une église destinée à abriter la précieuse relique. L’édifice a été modifié une première fois au XIIe siècle par le pape Lucius II, puis à la Renaissance et au XVIIIe siècle.

 

Rome, Eglise San Carlo ai Catinari

L’église de S. Carlo ai Catinari date de l’époque de la Contre-Réforme. Son imposante façade a été réalisée de 1635 à 1638. Certains éléments de la décoration intérieure sont l’œuvre de très grands artistes comme le Dominiquin (les vertus cardinales représentées aux pendentifs de la coupole), Pierre de Cortone, auteur de la Procession de saint Charles Borromée pour conjurer la peste de Milan qui orne le maître-autel, ou encore Lanfranco pour l’abside.

 

Dominiquin (Le), Domenichino (Il)

Domenico Zampieri, dit Il Domenichino, en français le Dominiquin (Bologne, 1581 – Naples 1641), peintre et dessinateur, fut l’élève de Louis Carrache puis l’un des aides d’Annibal Carrache au palais Farnèse à Rome. Il fut aussi fortement influencé par le style de Raphaël. Il est l’auteur d’importantes décorations à fresque (Martyre de saint André, Dernière Communion de saint Jérôme, Chasse de Diane). Son œuvre influença Poussin
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